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Mais
où est donc passée cette chanteuse magnifique
en qui les amateurs de jazz avaient palcé tant
d'espoirs ? |
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Elle
qui chantait Donna Lee de Charlie Parker sur un tempo
lent et avec des paroles françaises. Elle qui enchantait
sur scène par son allure, sa beauté, ses gestes
de velours. Elle dont la voix avait l’élégance
de son attitude, la justesse de son regard un peu ironique.
Elle, Elisabeth Caumont, soustraite à nos désirs
de musique de jazz à la française qu’aucune
chanteuse n’est venue combler après elle.
Son détour par la chanson n’a-t-il abouti à
rien de décisif ? Nous boudait-elle ? Nous craignait-elle
? Qu’elle sache que nous sommes nombreux à nous
réjouir de son retour, surtout dans la formule voix,
guitare (Michel Perez), contrebasse (Pierre-Yves Sorin) qui
fut celle de Julie London chantant Cry me a river.
M.C.
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Elisabeth
Caumont, un physique de cinéma
pour une femme qui ne rêve
que de musique.
Un concert mis en scène et éclairé avec goût.
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Elisabeth
Caumont,
la force gracieuse d'une évidente personnalité.
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Un
guitariste pétri de swing
et de feeling.
Une réussite exemplaire.
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Michel
Perez, un guitariste qui sait adapter son phrasé et sa sonorité
à des compositions toutes excellentes.
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Michel
Perez, un orfèvre de la musique, plein de sensibilité, d'une
maîtrise exemplaire.
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Pierre-Yves
Sorin conçoit
des arrangements subtils
et raffinés.
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Elisabeth
Caumont s'est imposée comme l'une des rares valeurs sûres
du Jazz hexagonal.
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